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Ma petite vie Slovaque
2 août 2007

Carmen ...

C'était en juin ...

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Bratislava dispose de deux opéras, l'ancien et le nouveau. Les prix sont plus qu'abordables (les voisins Viennois venant régulièrement à Bratislava à cette attention). L'occasion de découvrir cet univers était donc immanquable. Il se jouait justement l'opéra "Carmen" de Georges Bizet.

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(les photos proviennent du site de l'opéra, en effet tout enregistrement est interdit dans l'Opéra)

Franchement saisissant, je ne m'attendais pas à passer une aussi bonne soirée. On est pris dans cet univers de sensations. Les chants, la musique, la mise en scène, le jeu d'acteurs et les décors nous plongent dans une oeuvre mais surtout dans un environnement que l'on est plus habitué à voir sur petit ou grand écran. Je le conseille vivement pour ceux qui ont les moyens en France ou l'occasion de venir ici (attention fermeture juillet/aout). Pour ma part j'y retournerai d'ici mon retour en France.

Un peu de culture cela ne fait pas de mal :

Source Wikipedia :
Carmen est un opéra — plus exactement, un opéra comique — en quatre actes de Georgez Bizet, composé en 1875, sur un livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d'après la nouvelle Carmen de Prosper Mérimée

Synopsis
L'action se passe à Séville et dans les environs, au début du XIXe siècle.

Acte Ier
Une place à Séville : à gauche, le corps de garde, à droite, l'entrée de la manufacture de tabac. Une foule bigarrée : des enfants, des soldats, des passants... Plus tard, au son d'une cloche, des pénitants vêtus d'une robe et d'une cagoule défilent en portant une croix. Après que le brigadier Don José eut été témoin d'un meurtre commis par la bohémienne Carmen il met cette dernière en prison. Mais José perd la tête : il s'éprend de sa prisonnière et — contre une promesse de cette dernière de le retrouver plus tard, chez Lillas Pastia — la laisse finalement s'échapper.

Acte II
Quelques jours plus tard, dans la taverne de Lillas Pastia, Carmen, Frasquita et Mercédès sont à table avec des officiers : chants, danses, guitares et tambours de basque. Le torero Escamillo fait une entrée triomphante et remarque Carmen. Cependant, celle-ci attend Don José afin de s'acquitter de sa dette. Le brigadier, toujours éperdument amoureux d'elle, trouve un rival en la présence de son propre lieutenant, Zuniga. Suite à une rixe entre les deux hommes, José choisit de déserter et décide de suivre ses compagnons contrebandiers dans la montagne.


Acte III
Un site sauvage dans la montagne : le repaire des contrebandiers. Carmen commence à se lasser de la jalousie de Don José. Au cours d'une partie de cartes avec Frasquita et Mercédès, Carmen entrevoit sa mort prochaine. Cependant, Micaëla, vient chercher José pour que celui-ci assiste sa mère, mourante. Escamillo, nouveau rival de l'ex-brigadier, invite les contrebandiers aux prochaines courses de Séville.

Acte IV
Une place à Séville, devant les murs et l'entrée des arènes. Acclamé par la foule, Escamillo accompagné de Carmen, entre dans le cirque pour de nouvelles courses de taureaux. Alors que la foule pénètre dans le cirque à la suite du torero, Don José paraît. Il supplie Carmen de le suivre et d'abandonner son nouvel amant. Devant le refus de celle-ci, il devient menaçant et finit par la poignarder mortellement : il se laisse arrêter au moment même de la sortie des spectateurs chantant le nouveau triomphe d'Escamillo.

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